Quelques témoignages d'entreprises qui ont abandonné Kubernetes en raison de sa trop grande complexité qui ne convient pas à tous les usages.
C'est exactement ma vue de cet outil que je connais peu : ça semble fascinant et très puissant mais d'une complexité telle que finalement peu de boîtes peuvent se le permettre.
De l'orchestration de containers qui se veut plus abordable que Kubernetes.
Le setup initial semble quand même loin d'être simple mais c'est bien d'essayer de trouver des alternatives.
"Distroless" se réfère au fait d'avoir une image dénuée du moindre outil UNIX tel que wget, sed, grep, cp, etc.
En pratique c'est compliqué parce que ces outils sont souvent nécessaire au démarrage du container pour le configurer en fonction de l'environnement dans lequel il tourne par exemple. Mais ces outils augmentent la surface d'attaque potentielle alors qu'ils ne sont pas utiles au delà des premières secondes de vie du container.
La solution se situe dans l'utilisation d'init container. Il s'agit d'un container standard qui n'aura pour but que d'effectuer cette configuration au démarrage, et il s'arrêtera ensuite.
Une interface graphique pour gérer un cluster Kubernetes.
Via https://korben.info/seabird-client-gestion-kubernetes-windows-macos-linux.html
Un tuto relativement simple en 6 étapes pour comprendre les composants de base de Kubernetes (cluster, node, pod, deployment, service, replica set).